« Il n’y a pas de problème, il y a juste des solutions. »
Mon père Daniel Payot disait ça. Il ne le dira plus, mais cette petite phrase reste la marque de son inexorable optimisme.
J’ai donc décidé de prendre le flambeau. Le flambeau de l’optimisme, le flambeau des solutions.
Car là où il avait raison, mon père, c’est qu’il y avait toujours une solution, peut-être pas là, sous la main, mais à côté, dans l’espace ou dans le temps.
Peut-être pas en soi, mais avec l’aide d’un ami, parent, collègue.
Que focaliser sur le problème ne permet pas toujours de garder la hauteur nécessaire, d’embarquer, de fédérer.
Je note aussi que le fait d’asséner le problème ne fait parfois que cliver plus encore, alors qu’il faudrait dialoguer, trouver de nouvelles solutions, adaptées au territoire, à la topographie locale, ensemble.
Concrètement, j’ai envie de parler de solutions, de montrer que l’adaptation au changement climatique, c’est possible, certains le font déjà.
Cela vous intéresse ? Suivez-moi.
Auteur de l’article : Séverine Payot